Rome , 03 août 2010. Même les travailleurs extracommunautaires peuvent être des thèses à l’Aler, l’organisme qui à Milan gère les maisons populaires. Sont exclus seulement parce qu’ils ne sont pas des italiens c’est une discrimination.
Vendredi dernier le Tribunal de Milan a donné raison à une citoyenne équadoregna qui n’a pas pu participer au concours pour un emploi comme gardien dans les maisons populaires parce que entre les qualités il y avait la nationalité communautaire. Le Cisl de Milan avait présenté à son nom un recours, patronné par des avocats Alberto Guariso et Silvia Balestro. Le syndicat visait le doigt contre « Avertis de recherche de personnel au moyen du déroulement d’épreuves sélectives », publié par l’Aler en l’avril dernier, qui posait comme qualité pour la partecipation la possession « de la citoyenneté italienne ou d’un des États des membres de l’UE ». Concours concernait l’engagement de techniques, employés, inspecteurs, ouvriers et 19 gardiens. Pour un de ces 19 places elle avait fait demande même une travailleuse équadoregna, mais la demande a résulté inadmissibile vraiment à cause de la citoyenneté.
Le juge, en accueillant les raisons du Cisl, avec une ordonnance déposée vendredis 30 Juillet a observé qu’ « elle ne peut pas être invocata la majeure fiabilité du citadin italien ou communautaire par rapport à l’étranger lorsque la fonction à dérouler soit technique-opérationnelle et n’implique pas l’exercise de fonctions publiques ». Dans le fattispecie il a déclaré la « discriminatoire du comportement de l’Aler » et commandé la modification de l’avis de recherche, la réouverture des termes de présentation des demandes, l’admission de la récurrente au concours, la publication du dispositif sur le site et dans les sièges Aler, le paiement des frais d’avocats.
« La décision du juge pose fin à une grave et manifeste injustice. Un donneur de travail doit choisir ses collaborateurs sur la base de leurs capacités, compétences, caractère professionnel. La couleur du peau ou Pays de provenance ne peuvent pas devenir des éléments d’exclusion et discrimination » commente Marie Grazia Bove, secrétaire du Cisl milanais. « La même récurrente note la syndicaliste avait déjà travaillé pour l’Aler, vraiment comme gardien, pour le compte d’une coopératif. Alors, s’ils sont des dépendants de `terzi’vont bien ? Elle me semble une grande hypocrisie. Oltretutto, aujourd’hui même dans les stables privés une bonne partie des gardiens a des origines extracommunautaire : nous ne voulons pas les étrangers, mais souvent nous recourons à eux pour les travaux que les italiens refusent ».
EP