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Turco (PD). Permis à des points : « Des critères inacceptables »

La Sénatrice demande des fonds et des projets pour l’intégration.  » Nous augmentons la puissance le programme pour l’apprentissage de la langue »

Rome, 22 octobre. Avec ce gouvernement le « critère d’intégration prédominante n’est plus le travail, le revenu, le respect de la légalité mais la connaissance de la langue italienne, la mesure paradoxale et discriminatoire ». Avec ces mots la sènatrice du Pd Livia Turco dénonce, dans un articule odierno sur l’Unité, le programme de gouvernement en matière, même en prévision du paquet prochain de sûreté-immigration. Selon Livia Turco, le gouvernement, après avoir « sbandierato le programme pour la langue et la culture italienne pour les immigrés » ne l’a jamais réalisé en manière radicale, en reliant la réalisation seulement aux initiatives Régionales, de volontariat et des Communes. Pour la Sénatrice, l’entreprise, concerne par contre seulement l’attention vers le paquet de sûreté Maroni- Berlusconi de 2009, à travers lequel on introduit le délit d’immigration clandestine.

À travers la réalisation de ces règles, dénonce Turco « le gouvernement italien a promu une politique à des points qui n’a pas des égaux en Europe et qui va en collision avec les principes contenus du Papier des droits fondamentaux de l’UE ». La loi 94 de 2009, prévoit que l’immigré avec plus de 16 ans, à l’instant de l’entrée en Italie stipule un accord sur la base dont il engage à s’apprendre, avant deux ans, la langue et la culture italienne. À la fin des deux années sera vérifiée les aquisitions de telles connaissances, peine l’expulsion.

Selon Turco pour pouvoir soutenir cette politique, ils devaient être alloués des « ressources et des programmes pour promouvoir la culture italienne, dans les entreprises et dans les écoles. De tout cela rien n’a été fait et reste seulement la peine d’expulsion. » PD, à travers les mots de Turco, propose de rayer cette règle promouvant un programme plus articulé qui prévoit des financements publics et privés (20 millions d’euro par an) et qui va rencontrer aux nècessiteux des immigrés, en concédant des incitations pour celui qui participe à des tels cours comme « l’anticipation du relâchement du permis de séjour ».

 

Marco Iorio

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