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TRAVAIL: Les Eveques: « Régulariser qui travaille »

Miglio (Cei): « Tanti hanno già un’occupazione eppure continuano ad essere clandestini. Favorire contatti tra i migranti e i familiari rimasti in patria »

Il bene dell’Italia « non può prescindere da quello dell’Europa » e, in particolare, dalla situazione dei Paesi da dove arrivano molti immigrati.

 

Mile (CEI): «Beaucoup ont un emploi et pourtant ils continuent d’être illégales Encourager les contacts entre les migrants et leurs familles restées au pays.« 

Le bien de l’Italie « ne peut pas être séparée de celle de l’Europe» et, en particulier, la situation dans le pays d’où de nombreux immigrants arrivent.

Et «le message que Mgr Arrigo Miglio d’Ivrea et président du Comité de l’évêque pour les Semaines sociales des catholiques italiens, à partir de Chisinau lance l’ouverture de la première Semaine sociale catholique, la Moldavie, qui se terminera samedi prochain.

«Lors de notre dernière Semaine Sociale à Reggio Calabria, l’un des points de réflexion, rappelle dans une interview avec Mgr Mile Service d’information religieuse, était « d’inclure la présence de nouvelles ‘, en pensant d’immigrants et leurs enfants nés en Italie, et la nécessité que notre société a d’eux. ici, cependant, nous voyons la réalité de la migration par les familles, les femmes qui vont travailler à l’étranger, laissant son mari et ses enfants. « 

Moldavie et «pays le plus pauvre d’Europe orientale et d’un quart de sa population a émigré, surtout en Italie. L’exposant de la CEI appelle à «avoir un sentiment de responsabilité envers ce pays«  et souligne la nécessité pour « une politique de promotion familiale de proximité, ce qui affecte non seulement les pays de l’UE, mais le continent tout entier.« 

Millet a alors demandé à «promouvoir par tous les moyens possibles contacts plus fréquents entre ceux qui ont émigré et votre famille», même agissant sur le «travail au noir« . Vous devriez alors de faciliter « la légalisation de nombreux que nous avons un travail, peut-être que les soignants dans nos familles, mais ils continuent à être «illégal». « 

 

 

E’ il messaggio che monsignor Arrigo Miglio, vescovo di Ivrea e presidente del Comitato per le Settimane Sociali dei cattolici italiani, lancia da Chisinau in apertura della prima Settimana Sociale dei cattolici moldavi, che si chiuderà sabato prossimo.

« Nel corso della nostra ultima Settimana Sociale, a Reggio Calabria, uno dei punti di riflessione – ricorda monsignor Miglio in un’intervista al Servizio Informazione Religiosa – era ‘includere le nuove presenze’, pensando agli immigrati e ai loro figli nati in Italia, e al bisogno che la nostra società ha di loro. Qui, invece, si vede la realtà migratoria da parte delle famiglie, delle donne che vanno a lavorare all’estero lasciando marito e figli ».

La Moldova e’ il Paese più povero dell’Est europeo e un quarto della sua popolazione è emigrato, soprattutto in Italia. L’esponente della Cei invita pertanto ad « avere un senso di responsabilità verso questo Paese » e sottolinea la necessità di « una promozione di politiche familiari a vasto raggio, che riguardi non solo i Paesi dell’Unione europea ma tutto il continente ».

Miglio chiede poi di « favorire con tutti i mezzi possibili contatti più frequenti tra chi emigra e i familiari rimasti a casa », anche agendo sul « lavoro sommerso”. Si dovrebbe quindi facilitare “ la regolarizzazione di tanti che un lavoro ce l’hanno, magari come badanti nelle nostre famiglie, eppure continuano ad essere ‘clandestini' ».

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