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Fini :  » Je ne changerai rien sur ma loi »

 » Nous devons raisonner dans le perspective de l’intégration »
Rovigo, 26 octobre 2010.  » Je ne changerai pas une virgule de la loi qui va sous mon nom et celui de Bossi. Et que de toute façon il comprend des exceptions comme celle pour les réfugiés politiques » a dit le président de la Chambre Gianfranco Fini hier en intervenant à une rencontre avec les étudiants à Rovigo. Donc le président de la Chambre n’a pas manqué de se rappeller comment » cette loi établit un principe qu’en Italie peut venir stablement qui a un travail, et donc un revenu. Mais le vrai problème est celui de se demander : Il est naturel que qui vient ici chez nous mette des racines, comme du reste est produit pour nos migrants dans le passé ». Et le président de la Chambre donc s’est rappellé  » le monde est plein de fils et de descendants d’italiens qui dans le cours du temps sont arrivés à des niveaux très hauts, un exemple pour toute est ma collègue relie au Congrès Usa Nancy Pelosi, elle sent encore ses racines italiennes même si elle ne parle pas un mot italien.
Donc, a poursuivi Fini il est naturel que les fils et les fils des fils des immigrés d’aujourd’hui seront dans notre pays pas seulement des ouvriers ou des collecteurs de tomates mais inévitablement augmenteront dans l’échelle sociale, et on sentira parfaitement les italiens et sentira l’Italie comme leur patrie, ils s’élèveront en sentant l’hymne nationale » .  » Nous devons donc raisonner dans cette perspectif qui est celle de l’intégration. Le problème en effet n’est pas celui de l’explusion du clandestin qui vont très bien, mais le vrai problème est celui de l’intégration vu que les deux modèles, celui français et cela nord européen montrent les deux signes de crises » a averti Fini.

Et encore pour Fini  » face à ce grand défi que nous vivons il n’ y a pas une ordonnance, une baguette magique, mais j’espère que dans un grand pays comme l’Italie on élève le niveau du débat sur ce grand probléme ». Enfin, le président de la Chambre a expliqué que  » le problème de l’intégration se fait plus compliqué lorsqu’il est devant le monde islamique où la loi du précepte religieux et la loi statuale ils peuvent aller en conflit : alors se sont des problèmes sérieux et en est témoignage le cronique ». Pour le président de la Chambre en effet, il est nécessaire  » pas seulement le respect normal des règles mais surtout l’ adhésion substantielle aux valeurs ».

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