in

TRAVAILLEURS SAISONNIERS: Embauche plus rapide

 

Entrée en vigueur du Décret des simplifications.

Qui a un nouvel emploi peut être embauché sans devoir retourner dans son pays. Pour les « vétérans », vaut le mécanisme de l’autorisation tacite.

 

Avec l’entrée en vigueur des innovations du décret de loi sur les simplifications, il y aura une accélération et moins de bureaucratie pour embaucher les travailleurs saisonniers extracommunautaires, main d’oeuvre indispensable pour l’agriculture et le tourisme,

Afin de simplifier l’embauche des « vétérans », il a été introduit un mécanisme de consentement tacite, c’est-à-dire que si le « Sportello Unico » (Guichet Unique) pour l’immigration ne répond pas dans les 20 jours après la demande présentée par l’employeur, celle-ci « est acceptée», et donc le visa pour l’Italie peut être immédiatement délivré au travailleur.

Cette règle, cependant, ne concerne que les demandes pour les travailleurs saisonniers qui ont déjà été autorisés à entrer en Italie, l’année précédente, régulièrement embauchés par l’employeur et retournés dans leur pays, à l’expiration de leur  permis de séjour.

En bref, elle accélère les dossiers des travailleurs de confiance rappelés, chaque année en Italie, par les mêmes sociétés.

La nouveauté la plus incisive concerne cependant les travailleurs saisonniers qui, par exemple à la fin de la récolte, ont un nouvel emploi saisonnier, chez la même ou une autre entreprise.

Si leur permis de séjour est encore valable, ils peuvent être embauchés immédiatement et le permis de séjour sera renouvelé pour la durée du nouvel emploi, sous réserve de la limite maximum de 9 mois en Italie. Surtout, ils peuvent se mettre à travailler sans devoir retourner dans leur pays pour demander un nouveau visa.

Le décret parle ensuite des autorisations triennales pour l’esntrée des travailleurs ayant déjà été en Italie, une nouveauté en vigueur depuis l’année dernière. Il est spécifié, une fois pour toutes, que « à partir de la 2ème année, la demande d’embauche peut être faite par un employeur, meme autre que celui qui a obtenu la première autorisation ».

Elvio Pasca

 

 

 

AFRIQUE – PRINCIPAUTE DE MONACO: Le Prince Albert II de Monaco à Bamako et à Ouagadougou

CONSEIL EUROPÉEN: « Nous avons besoin des immigrés! »