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TRAVAIL: Immigrés super instruits et sous-employés

Paradoxe des immigrés en Italie, selon une recherche ACLI IREF.

Les immigrés font les boulots les plus malaisés et les moins payés meme s’ils vantent des formations méritant des emplois meilleurs.

Sous-employés et super instruits: c’est là le paradoxe des immigrés en Italie, selon la recherche de IREF (Institut de Recherchje) des ACLI (Associations Chrétiennes des Travailleurs Italiens), présentée à l’occasion de la 44ème Rencontre nationale des études, sur le thème du « Travail déséquilibré ».

Ces deux éléments dénotent l’incapacité du marché de l’emploi à valoriser les ressources et les compétences, selon l’ACLI.

Le pourcentage de sous-occupés (individus déclarant d’avoir travaillé, pour des raisons indépendantes de leur volonté, moins d’heures qu’ils auraient pu ou voulu en faire) et de super instruits (personnes qui font un boulot inférieur à leur titre d’études) est majeur chez les immigrés que chez les italiens. En effet, le pourcentage de:

– sous-employés italiens est 4% tandis que chez les étrangers, ça dépasse 10%;

– super instruits italiens est 19% tandis que chez les étrangers, il est plus de 42%.

« Il y a une consolidation de l’emploi des étrangers dans le bas segment du marché: lesa Immigrés font les boulots les plus malaisés et les moins payés, meme s’ils vamtent des formations méritant des emplois meilleurs« , souligne l’ACLI.

 

Elvio Pasca

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