Le Dossier Caritas indique que les immigrés laissent à l’Italie beaucoup plus de sous qu’ils ne reçoivent comme services et dépenses en leur faveur.
Ils contribuent à 11,1% du PNB (Produit National Brut) et versent un milliard d’euros de taxes.
Donnant un coup de main à assainir le bilan de l’INPS (Institut National de Prévoyance Sociale), ils garantissent ainsi les pensions futures des Italiens.
Les étrangers occupent les boulots dans les secteurs de la production peu appétissants pour les Italiens.
Que peut-on alors désirer en plus de ce cadre qui a tous les ingrédients pour démystifier les préjudices, les peurs et les fermetures d’une partie de la population italienne.
Vu ces données, il y a de quoi se demander si les immigrés sont le problème de la crise ou pas plutôt la contribution pour sa solution: ce sont des «immigrati» à qui être «grati»!
Milton Kwami