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Caritas :  » Les clandestins augmentent malgré l’accord Italie-Lybie »

 » Les rapatriements en mer sont en contraste avec la liberté’ personnelle » . Rome, 10 août 2010  » Il y a un flux constant et une pression migratoire qui reste substantiellement immutaté si non augmentée au dela’ et en dépit de tous les accords pris entre l’Italie et Lybie » . C’est une affirmation d’Oliviero Forti, responsable national de Caritas ADNKRONOS en commentant les reprises des débarquements d’immigrés dans le sud Italie et même en Sicile, en dernier avec l’arrivée de 50 immigrés à Linosa la nuit dernière.

 » Un pays comme la Lybie, poursuit Forti, aujourd’hui doit absoudre au rôle de sentinelle de l’Europe, nous demande jusqu’à combien cela peut arriver parceque nous savons tous que la Lybie a un retour économique par rapport au rôle qu’elle joue » A l’instant où on ne réussit pas plus à soutenir cette dynamique , nous assistons à la reprise des débarquements, pas en même quantité qu’au passé mais de toute façon un nombre de débarquements qui sommés font des centaines de personnes et auxquelles de toute façon il faut donner une réponse ».

 » Nous nous demandons alors comment ils puissent se produire ces débarquements si théoriquement est en vigueur une surveillance ainsi serré comme a été annoncé et que dans quelques cas il semble ne pas fonctionner. Les arrivées de cette nuit à Linosa montrent que les surveillances ne fonctionnent pas ensuite ainsi bien. On rend compte qu’il y a un besoin d’une politique qui regarde au-delà de ces mesures et qui cherche à donner des réponses aux milliers de personnes qui cherchent à débarquer sur notre cote ».

Au sujet de la politique du gouvernement sur l’immigration, la Caritas confirme ses critiques pour les  » refoulements forcés en mer à notre avis en contraste avec le liberté personnelle » .  » Mais au delà de l’efficacité directe , ce que nous craignions est que dans les faits cette politique n’aurait pas résolu le problème aux racines mais il l’aurait seulement déplacé plus au sud.
Le cas des 200 érythréens détenus en Lybie nous donnent la mesure comment l’Italie a supporté un chargement mineurs d’immigrés, et toutefois vu que nous comme la Caritas sont à coeur des personnes et les vies humaines, le destin de ces personnes ne résolte rien. Donc nous devons nous préoccuper s’est vraiment ceci : combien arrivent chez nous qui ont au moins quelque possibilité’ de survivre bien, ailleurs cette possibilité vient moins.

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