On compte aujourd’hui 71 retraités sur 100 travailleurs. Mais  considérant les seuls étrangers, la proportion est 4%: un vrai paradis  pour la prévoyance sociale. 
 Rome – 24 juin 2011 – Selon le rapport de l’ISTAT (Institut  National de Statistiques), la démographie est contre les comptes publics  italiens. Avec la population de plus en plus vieillissante et la  situation de l’emploi aggravée par la crise, la dépense des pensions  augmente et il est toujours de plus en plus difficile de la compenser  avec les contributions versées par les travailleurs actifs.
Rome – 24 juin 2011 – Selon le rapport de l’ISTAT (Institut  National de Statistiques), la démographie est contre les comptes publics  italiens. Avec la population de plus en plus vieillissante et la  situation de l’emploi aggravée par la crise, la dépense des pensions  augmente et il est toujours de plus en plus difficile de la compenser  avec les contributions versées par les travailleurs actifs. 
Le “Rapport sur les travailleurs immigrés », publié par l’INPS (Institut National de Prévoyance Sociale) en collaboration avec le Dossier Statistique Immigration Caritas/Migrantes, estime que, parmi les étrangers, il y a 110.000 retraités contre 2,7 millions de travailleurs enregistrés dans les archives INPS, c’est-à-dire à peine 4 retraités chaque 100 employés:
« Les immigrés sont des rares bénéficiaires et d’importants contribuables au sein du système de prévoyance sociale. Ils versent plus qu’ils ne reçoivent en retour. Beaucoup plus. Qui serait aussi myope et masochiste au point de les envoyer paître?« , reconnaît l’INPS.
Elvio Pasca
 
							

