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CAN CAMEROUN 2019: Forces et faiblesses du pays des Lions Indomptables !

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42 ans après!

Depuis l’édition de 1972, le Cameroun n’a plus abrité une phase finale de la Coupe d’Afrique des Nations de football (CAN). 42 ans après, la CAF a désigné le pays de Roger Milla pour accueillir cette grande fête du football africain. Mais la nation des Lions indomptables a-t-elle les moyens ? Forces et faiblesse du pays organisateur de la CAN 2019.

altDepuis l’édition de 1972, le Cameroun n’a plus abrité une phase finale de la Coupe d’Afrique des Nations de football (CAN). 42 ans après, la CAF a désigné le pays de Roger Milla pour accueillir cette grande fête du football africain. Mais la nation des Lions indomptables a-t-elle les moyens ? Forces et faiblesse du pays organisateur de la CAN 2019. Alors qu’il était en concurrence avec la Côte d’Ivoire, l’Algérie, la Guinée et la Zambie, le dossier du Cameroun a reçu l’adhésion des votants. Malgré ses points faibles, le Cameroun de Roger Milla passe devant une Algérie favorite, grâce à un dossier consistent.

Les points forts du dossier du Cameroun

Parmi les 5 pays candidats, le Cameroun est la nation qui est la plus ancienne à avoir organisé une Coupe d’Afrique des Nations. La dernière en date a été celle de 1972, remportée par le Congo. L’Algérie a abrité l’édition de 1990, la Côte d’Ivoire celle de 84. Un facteur qui a penché en sa faveur.

L’autre atout qui a milité pour le choix du Cameroun est le poids que constitue le président de la CAF, Issah Hayatou, qui est d’origine camerounaise. Depuis sa prise de pouvoir au niveau de l’instance suprême du football africain, en 1988, il n’a pas assisté à une phase finale de cette compétition chez lui. Accorder l’organisation au Cameroun est une manière de le récompenser, lui qui est proche de son départ de la tête de la CAF.

Les infrastructures

Certes, le Cameroun a fourni beaucoup de talents à l’Afrique, mais les infrastructures sont loin de recevoir l’assentiment des uns et des autres pour des compétitions de la CAF. Depuis quelques années, le Cameroun s’est lancé dans un vaste programme de construction et de développement des infrastructures sportives. Actuellement, on note une avancée considérable.

Le nouveau stade Omnisports de Yaoundé sera construit à Olembé, un quartier de Yaoundé, situé vers la sortie de la capitale sur l’axe lourd Yaoundé-Bafoussam. D’une capacité de 60 000 places assises, ce stade sera entièrement couvert. Son aire de jeu sera dotée d’une pelouse naturelle et d’une piste d’athlétisme contenant huit couloirs.

Le stade Omnisports de Douala, quant à lui, sera construit à Japoma dans l’arrondissement de Douala 3e. Ultra moderne, celui-ci aura 40 000 places assises avec des espaces commerciaux et des espaces de détente.

Les travaux des autres stades seront achevés avant les échéances. Avec les travaux des grands projets, les infrastructures routières et hôtelières ne seront pas en reste.

Les points faibles

Le Cameroun a présenté un dossier conséquent avec des personnalités qui ont travaillé jour et nuit pour l’obtention de la Coupe d’Afrique des Nations 2019. Mais beaucoup restent à faire, surtout sur le plan sécuritaire. La zone qui semble vulnérable est celle du nord, à Garoua. Une zone proche de la secte islamiste Boko Haram. Cette dernière a déjà commis des attentats contre des amateurs de football, au Nigeria.

La CAF a dévoilé les noms des pays qui vont organiser les éditions de 2021 et 2023. Il s’agit respectivement de la Côte d’Ivoire et de la Guinée.

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